La little de Noël n’était pas aux pieds du sapin

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il y a 4 ans

La little de Noël n’était pas aux pieds du sapin

Je rentrais de mon travail, mon patron ne nous avait pas lâché avant 18 heures. Pour un soir de Noël, ce n’était pas très sympa.

Assise sur un muret, elle était gelée, toute seule et en larmes aux pieds de mon immeuble.

Cette jeune asiatique m’a fait peine, alors je suis allé la voir au lieu de détourner la tête comme l’on fait parfois avec les sans abris.

Au début elle a hésité puis a fini par me parler et vider son coeur malade. Elle m’a raconté que son chéri l’avait plantée le soir de noël et carrément viré de sa voiture. Loin de sa famille et sans argent, elle ne savait pas où aller.

Je lui ai dit que j’était tout seul aussi et que si elle voulait, elle pouvait venir partager mon super repas, du poisson pané avec du riz et la bûche de noël que j’avais sous le bras. Quand elle m’a demandé pourquoi je faisais ça, je lui ai répondu qu’il valait mieux être malheureux à deux que seul.

Lorsque nous avons commencé à gravir les marches de l’escalier en bois grinçant à chacun de nos pas, j’ai commencé à paniquer. Oh purée, j’avais laissé traîner toutes mes petites affaires ABDL. Ce n’étais pas un problème en soit, puisque je suis célibataire, mais là, elle allait tout découvrir. Il était hors de question que je revienne sur mon invitation et si je lui demandais d’attendre devant la porte, elle risquait d’avoir peur et de s’enfuir. Alors je me suis dit qu’on verrait bien, que c’était peut-être la providence qui l’avait mise sur mon chemin.

Même si j’étais mort de honte, ma galanterie naturelle m’a poussé à m’effacer devant la porte et à la faire entrer la première. A la vue de toutes mes couches et mes petites affaires elle n’a rien dit, aucune remarque, aucune réflexion. Rouge comme une écrivisse, je lui ai proposé un café pour commencer à se réchauffer. Quand elle a accepté ma proposition, son visage ressemblait à celui d’un petit ange malheureux.

Quelques minutes plus tard, elle reprenait des couleurs, la chaleur ambiante et le café commençaient à la réchauffer. Entre deux crises de larmes de crocodile, elle n’arrêtait pas de me remercier en me promettant de quitter les lieux le lendemain même si elle ne savait pas où aller.

Si son corps se réchauffait, son coeur quant à lui restait bien malade. Alors je lui ai tendu les bras pour l’attirer contre moi et essayer de la réchauffer avec un peu de chaleur humaine. Elle me semblait si fragile que je n’osais pas la serrer contre moi. Nous avons discuté un peu, elle m’a indiqué avoir 24 ans et que son petit ami était un peu un passeur comme l’on dit. Elle devait travailler dans l’entreprise familiale, un commerce chinois.

Si cette petite me semblait effectivement dans une situation particulièrement précaire, son français était parfait, à peine teinté d’un accent de chez eux. Lors de notre discussion, j’ai pu constater que Shoé était très cultivée. Je n’ai appris que plus tard qu’elle avait l’équivalent d’un diplôme de pharmacienne. Elle avait du fuir son pays pour d’obscures raisons politiques, ses parents étaient en prison. Au deuxième café, elle n’était plus en manque de confidence, elle se lâchait et devenait presque une pipelette.

Elle m’a demandé aussi naturellement que si j’aimais la tarte aux pommes, si les affaires de grand bébé étaient à moi. Ne pouvant esquiver, j’ai répondu « oui, nous avons tous nos petit travers, le mien ne fait de mal à personne ». Après tout, si cela la dérangeait, c’était son problème et elle n’avait qu’à pas les regarder.

A ma grande surprise, elle m’a dit adorer ses vêtements avant de me demander si elle pouvait les regarder de plus près. Que répondre à ça quand on est ultra gêné avec une boule dans la gorge. Rien ! J’ai juste fait « oui » de la tête.

Voir ce cachou tripoter mes affaires, les regarder, les poser sur elle pour voir comment cela lui irait en se mettant devant la miroir du salon, me faisait fondre de bonheur. Tout aussi naturellement que sa première question, elle m’a demandé si elle pouvait les essayer ! ! !

Sans aucune gêne apparente, elle a retiré ses vêtements pour ne garder que sa culotte et son soutien-gorge avant de se lancer dans des essayages. Entre deux tenues, elle venait me faire une bise sur la joue. Autant dire que mon coeur malade de célibataire s’enflammait. Il s’enflammait aussi dans mon caleçon tant elle était belle à voir. Je suis évidement resté sage, il était hors de question que je tente quoi que ce soit sur une pauvre fille abandonnée.

Je lui ai proposée de rester en grenouillère pendant que je préparais le repas. Elle m’a sauté au cou et encore fait une bise sur la joue. Au moment de passer à table pour manger les poissons qui ont les yeux dans les coins, Shoé ma dit que je devais m’habiller comme elle, comme ça, nous ferions un noël de little à deux. Heuuuuuuuuu !

Elle était petite certes, mais pleine de vie ! Elle m’a pris par la main pour me conduire au salon et là, cash, sans aucune considération sur mon éventuelle gêne, elle a commencé à me dévêtir en me disant que je serai très beau dans la grenouillère de l’éléphant. C’est quand je me suis retrouvé en caleçon, qu’elle m’a proposé de me mettre une couche. J’ai refusé en lui disant que c’est moi qui les mettait aux autres.

Curieuse comme un spéculum, elle a voulu tout savoir. Alors je lui ai raconté que j’étais daddy, enfin, l’ex daddy redevenu célibataire depuis le départ de l’élue de mon coeur.

  • Alors si tu n’as pas de little ce soir, Shoé veut bien que tu t’occupes d’elle. Tu veux bien me faire tout pareil que tu faisais à ta copine ? M’a dit Shoé de but en blanc devant ma mine triste.

Mon coeur s’est emballé, mes yeux ont du se transformer en spot de noël. J’ai enfilé la grenouillère et je l’ai portée sur la table de mon salon. Elle s’est laissée dévêtir, elle n’a eu aucun geste de recul quand j’ai passé la lingette sur les parties intime de sa charmante anatomie. Après lui avoir mis une couche, je lui ai passé un body avant de la remettre en grenouillère. Son rire cristallin tout au long de ce change charmait mes oreilles. J’ai cru rêver.

  • Je peux aussi faire pipi dedans ? Ma demandé Shoé en penchant la tête sur le côté comme pour quémander.

Après le repas, elle est carrément venu s’asseoir sur mes genoux en me disant : « tu es le plus gentil des daddys du monde ». Lové l’un contre l’autre, nous avons regardé la télévision en nous faisant des câlins tous doux.

Si ma nuit fut chargée de rêves fous, le matin quand elle a voulu partir, mon coeur s’est arrêté, mon estomac s’est noué. Mon cervelet en colère a donné un coup de pied aux fesses de ma timidité. Ma bouche s’est ouverte et lui a proposé de rester si elle voulait.

Shoé a accepté en me promettant qu’elle ne serait pas une charge pour moi. Huit jours plus tard, elle décochait un emploi dans une pharmacie. Elle gagne trois fois mon salaire, c’est une vraie fée du logis. Je me suis mis à la cuisine chinoise, comme vous vous en doutez !

La little de mes rêves était une sans abris le 24 décembre. Aujourd’hui, c’est une princesse à mes yeux.

TSM

P.S. Cette histoire est fictive, toute ressemblance avec des personnes ayant existées ou existant ou --> pas encore nées serait qu’un pur hasard.

P.S. 2 désolé je n’avais pas beaucoup de temps, mais relever ce défi m’amusait alors j’ai rapidement une petite histoire. J’espère qu’elle vous plaira.

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